lundi 19 mai 2014

LE COMTE DE MONTE-CRISTO (1844/1846) - Alexandre DUMAS (1802/1870) - (en livre numérique)

Je découvre tardivement "Le Comte de Monte-Cristo"...
Je ne suis pas un fanatique du livre numérique mais, pour un tel monument (gratuit de surcroît...), pouvoir se plonger dans la lecture à tout moment et en tout lieu, c'est épatant...
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Le Comte de Monte-Cristo est paru, pour la première fois, en feuilleton au "Journal des Débats" d'août 1844 à janvier 1946...
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Depuis il a fait l'objet, dans le monde entier, de multiples éditions, adaptations au cinéma, à la télévision, en bandes dessinées...
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Un personnage fascinant que le héros...
Edmond Dantes,
qui, accusé à tort, va pendant des années, poursuivre implacablement sa vengeance...
Une magnifique histoire d'amour et de haine !
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EXTRAITS
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« Dieu peut changer l’avenir. Il ne peut pas même modifier le passé. Ce que nous pouvons, nous autres hommes, sinon le renier, du moins jeter un voile dessus. »
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« Est-ce que dès la première fois vous avez aimé les huîtres, le thé, [...] les truffes, toutes choses que vous avez adoré par la suite ? »
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« Lorsqu’on fait voir à un ami une ville qu’on a déja vu, on y met la même coquetterie qu’à montrer une femme dont on a été l’amant. »
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« Menez deux moutons à la boucherie, deux boeufs à l’abattoir, et faites comprendre à l’un d’eux que son compagnon ne mourra pas, le mouton bélera de joie, le boeuf mugira de plaisir ; mais l’homme, l’homme que Dieu a fait à son image, l’homme à qui Dieu a imposé pour première, pour unique, pour suprême loi, l’amour de son prochain, l’homme à qui Dieu a donné une voix pour exprimer sa pensée, quel sera son premier cri quand il apprendra que son camarade est sauvé ? un blasphème. Honneur à l’homme, ce chef d’oeuvre de la création. »
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Nos amis transalpins apprécieront :


« Tout au contraire il faisait honneur au repas en homme condamné depuis quatre ou cinq mois à la cuisine italienne, c’est à dire l’une des plus mauvaises au monde. »
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« C’est encore une habitude de notre fashion parisienne, d’arriver au spectacle quand le spectacle est commencé : Il en résulte que le premier acte se passe, de la part des spectateurs arrivés, non pas à regarder ou à écouter la pièce, mais à regarder entrer les spectateurs qui arrivent et à ne rien entendre que le bruit des portes et celui des conversations »
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« J’ai dans le coeur trois sentiments avec lesquels on ne s’ennuie jamais : de la tristesse, de l’amour, de la reconnaissance. »
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« [...] et ma belle-mère me hait avec un acharnement d’autant plus terrible qu’il est voilé par un sourire »
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C'est un des orgueils de notre pauvre humanité, que chaque homme se croie plus malheureux qu'un autre malheureux qui pleure et qui gémit à côté de lui.

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Alexandre Dumas
(1802-1870)
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Voir ICI
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Du peu que je connais de son oeuvre gigantesque je garde une préférence pour "Le Vicomte de Bragelonne" (voir ICI )
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2 commentaires:

  1. Ne m'en parle pas. J'ai une italienne à la maison ! Mais, bon je ne râle pas trop. Elle n'est qu'à demi italienne. Son côté normand l'a tout de même rendue bonne cuisinière. J'ai lu, adolescent, "Le viconte de Bragelonne", Quant aux trois mousquetaires, je n'ai lu leurs aventures que dans une édition abrégée. J'ai aimé évidemment et vu cinquante fois au ciné l'histoire des ferrets de la reine...

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  2. Que de souvenirs et de rêves avec ce "Comte de Monte Cristo", lu ado, il y a donc longtemps...
    Amitié

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